Biographie
         
     

Johne Flugu est né le 22 septembre 1979 à Johnson-Lès-Waneuguène, petite bourgade paisible de la Sarthe, département bien connu pour ses rillettes, ses 24 heurs du Mans, et c'est tout. Il commence la guitare à 9 ans sous la contrainte et se révèle rapidement être un élève d'une banalité hors du commun. A 12 ans il devient premier soliste d'une formation à cordes dans un garage de Pontlieue devant son papa et sa maman sous l'égide de Don Ernesto Ramirez Von de Thuyweerke sur un répertoire des Shadozes. C'est alors qu'il reçoit sa première guitare électrique. Il se décide alors à abandonner le répertoire classique pour le blues et le rock, et les Choco-pops au profit des Chocapics.

Il quitte Don Ernesto qui dira de lui plus tard il faisait des canulars téléphonique dans la salle de cours quand j'avais le dos tourné et il m'a pas payé le mois de mai! pour rencontrer Flying Bill "one-stinky-sock" Brounzaille. Il découvre alors les harmonies subtiles d'AC/DC et de Métallica, et le pouvoir de Dust in the Wind sur la plage des Sables d'Olonnes. John à 16 ans.

 
 

Il devient soliste du groupe The Lox, et fais ses premiers concerts rock ainsi. Hautement irradié par la musique pop-FM, il déploiera une énergie hors du commun pour faire du métal, du ska, du punk, de l'electro-dub et autres courants underground. Rien à faire, il se résilie et apprend par coeur tous les sols de Slash des Gun's'n'Roses, et écrit des chansons d'amour avec des arpèges. Les tournées succèdent aux tournées. Il rencontre alors Benoit, le chanteur de Kyo, le reste est dans les livres d'histoire:

- Vas-y qu'est-ce que tu fous, c'est ma nana que tu dragues!!

- Allez soit cool, je veux juste une dernière danse avant qu'j'aille faire le plein d'essence!

 
     

Suite à une anomalie du continuum espace-temps, le groupe se désagrège, et John Flugu commence sa carrière solo. On le voit lors de concerts comme "A friday night à faire la manche at St Martin-en-Ré" ou "Live at Pruillé-le-Chétif - Gerard Jubilee". Il participe au concert d'AC/DC au stade de France, dont il dira C'était de la balle, t'as pas un ticket de métro?

Il décide en 2004 de diffuser son oeuvre gratuitement. Une lutte sans merci s'engage avec les maisons de disques, qui feignent de l'ignorer, mais John n'est pas dupe. Fervent partisan des artistes libres, il vole les grands-mères pour se nourrir, par amour de son art.

En 2005, il fonde sa propre marque de céréales, les happy-gloumpf-choco-miam-miam au riz soufflé enrobé de flocons d'avoines fourrés au chocolat. Les investisseurs se retirent quand John leur fait part de son désir de mettre des livres de code civil rebondissants en guise de cadeau.

En 2006, il devient intermittent du spectacle à sa plus grande stupéfaction. Depuis, il végète sur son canapé et ne loupe aucun reality-show, pour m'imprégner de l'humeur méta-temporelle de mes contemporains.